Des ténèbres glacials a la lumière de l'amour

L’étrangère ébêté ne bougeait pas regardant à travers ces longs cils, l’homme qui se dirigeait dans sa direction. Grand, athlétique, l’allure fier, il émanait de cette personne une aura effroyable, captivante. La fuite s’imposait, et elle le savait. Mais le regard acier de l’homme l’en empêchait.

Je pleure car ces la seule chose que je sache faire. Parce que je suis au bord d’un précipice et que je ne sais que faire. La joie a depuis longtemps déserté mon cœur et l’amertume de mon existence me ronge. Lui dit-elle. Je cherche en vain la chose qui me retiendrait en se monde. Et vous, Hades, que venez vous faire en ces lieux. A ses mots, elle plongea ses yeux dans les siens. Elle tremblait. Cette homme la troublait.

Le vent audacieux caressai les cheveux de Mania, emportant avec lui son enivrant parfum vers Hadès. Piquer au vif, il s’empourpra. Pour la première fois depuis leur rencontre, la jeune fille souri dévoilant sous les rayons de la lune son secret. Hadès le partageai mais ne dit mot. Tous deux était conscient de leur nature. Je me demande lequel de nous deux a le plus besoin d’aide fini-t-elle par lui chuchoter. La solitude n’est en rien un repos. Le cœur s’isole certes mais ne dort pas. Cette douleur intense ne peu guérir seule. elle porta alors sa main sur la joue d’Hadès, elle était brûlante. Quel pouvais être cette fièvre, et quel était ce doute qu’elle lisait dans ces yeux.

Les larmes coulait sur les joues de mania, sa vision se troublais. Il lui échappait. Le moment passer au coté d'Hades semblai infime, ils ne se connaissaient pas. Et pourtant la perspective d'être séparé de cet être qui lui ressemblant tant l’étouffait. Mania ne savais que faire. Animer par le désespoir et l'extase de cette rencontre elle efleura des ses lèvre son cou et lui dit:
- Garde de moi l'instant présent!
Et ces lèvre tendrement s'abatir sur les sienne, Mania ne s'appartenais plus. Hades quand a lui tentai bien de lutter contre la fureur qu'animai son coeur. Les lèvres de Mania se firent plus pressante, plus impérieuse. Elle voulait retenir Hades à ses coté a jamais. Mais cette tentative était désespérée et elle le savait. Bientôt il la quitterait. Apres une long étreint, Mania se leva, abandonnant Hades derrière elle. Elle ne voulait pas souffrir plus longtemp

Mania sans grande joie se préparai pour la soirée annuel a la gloire du clan organiser par sa sœur Erato-Uriel. Son cœur glacé la brûlait. Et son visage était inondé de larme. Qu’elle mal la tourmentait. Afin de calmer le brasier de son cœur, Mania pénétra délicatement dans le bain que lui avais préparer sa servante, Madelyne. L’eau était glacer, et parfumer aux lilas. Le froid était son élément, son essence et il calma son cœur, les sanglots cessèrent. Sortant de son bain, elle s’enveloppa dans le peignoir de soie sauvage poser sur la console et se dirigea vers son dressing rempli de robe colorer que lui avait offert sa soeur. Ces robes étaient magnifique, des joyaux de minutie mais jamais elle ne le avais portait et sans doute ne les porterait’elle jamais. Trop de couleur, trop de joie. Mania n’aspirai qu’a une chose disparaître. Elle se dirigea machinalement vers le fond du dressing et choisi une robe noir, ouvrager ou étincelai des diamant noir. Bien que ne voulant être vu elle se devait pour sa sœur et pour le clan d’être présentable. Elle appartenait tout de même au plus puissant clan de vampire qu’il n’est jamais existé. Leur existence était supérieure et elle se devait de le montrer. Apres avoir revenu de riche bijou et s’etre fait coiffer par Madelyne, Mania se dirigea vers la grande salle de réception. On entendait au loin des éclats de rire, la fête battait son plein. La soirée promettait d’être long. Traversant la grand hall, Mania salua sa sœur et essaya d’oublier les danseur qui s’activai sur la piste de danse. Elle étouffai, il lui fallais fuir, elle se réfugia sur le grand balcon de la salle central. La fête gagnai en force, Mania espérai que cela la ferai oublier.

Tous le monde nous regard lui dit elle, je ne m’attendait pas a vous revoir un jour. Que fait vous la ? Mania troubler n’osai le regarder. Elle sentait bien que le regard métallique du guerrier briserait en elle toute résistance. Hadès lui semblai amuser et souriait de plus belle. Vous étés magnifique Mania lui dit il en la serrant contre sa taille. Mania se sentait fondre. Se reprenant elle ajouta furibonde, vous ne répondez pas a ma question.A quoi bon ? Les mots n’ont aucune d’importance. Lui dit il amuser. Il en ont pour moi répliqua Mania derechef. Mais Hadès ne l’écoutait plus, s’abandonnant au moment présent. La piste de danse était comble et les heureux danseurs tournoyaient sur la piste. Hadès toujours amuser s’empara du visage de Mania et pour la premier fois de la soirée leur regard se croisèrent. Etrangement le regard d’Hadès était soucieux, comme si le doute l’assaillait. Mania sentais les larmes lui monter, et assistai impuissante au combat intérieur que Hadès tentais de lui dissimuler. Son coeur implosait, sa respiration se fesai rapide. Alors qu’il ne s’y attendait pas, un danseur qui manifestement avait abuser de sang d’ivrogne bouscula Hadès et les lèvres de se dernier s’abattirent sur celle de mania. Ils ne pouvaient se contrôler plus longtemps et le baiser se fit passionner. Hadès souleva Mania, qui ne touchait plus le sol. Leur bouche les brûlait, leur corps était en feu, hors de contrôle. La foule méduser les observais, qui aurai pu croire que le roi solitaire du royaume des mort s’éprendrai de la triste reine des glaces. Enfin l’étreint pris fin et Mania regagna le sol. Cependant sa tête lui tournait, elle chancelait et Hadès la maintenait contre son torse. Nous ne pouvons pas Hadès, pardonne moi. Elle s’arracha a son étreint et s’enfui a travers foule laissant Hadès seule sur la piste.

Hadès contemplai sans un bruit la princesse essayant de contenir le désir qui torturait son corps. Elle était la, si vulnérable. Il aurait pu sans contexte s’imposer a elle, bien que guérites, ses blessures l’avaient affaibli. Mania s’emblai dormir d’un sommeil agiter et ne cessai de gesticuler dans son sommeil laissant échapper des mots inaudibles. Hadès ne savait qu’elle mauvais rêve troublait la nuit de sa belle. Il aurai voulu la prendre dans se bras, la rassurer et chasser ses cauchemar. Mais n’en fesai rien, le dernier baiser qu’il s’était donné et la scène qui avait suivi restait gravé dans son cœur. Elle l’avais rejeter par deux fois et un troisième refus, il le savait l’anéantirai. Mania laissa échapper un autre mot et Hadès cru y reconnaître son nom, de plus elle pleurai. Hadès ne tenant plus se précipita à son chevet et lui pris la main. De plus près le désir se fesai plus fort, il lui faudrait lutter, c’est était certain. Mania semblai se réveiller, le cœur d’Hadès s’accéléra, que faire et que lui dire ?

Mania était pétrifier, se qu’elle avais tant redouter arriva. Le prince avait trouvé sa princesse et lui avait avoué son amour, brisant par ce faite l’étau qui comprimait son cœur. Elle plongea pleine de détresse son regard dans celui d’Hadès et ne lu aucune hésitation, il était sincère, peu être plus qu’il ne l’avait jamais été.
- Dit quelque chose le supplia-t-il, n’import quoi ?
- tes blessure il faut les soigner, sa pourrai…
- je t’ai dit que c’était rien, soi sincère pour une fois coupa Hadès plein de fureur.
- c’est impossible lui avoua Mania entre deux sanglots. Ces mots ne sortiront jamais. Je, je …
Je ne sais pas si c’est de l’amour, je ne l’ai jamais connu. Se que je sais, c’est que j’ai peur, de toi, de tes gestes, de se qui pourrai arriver. J’ai peur de m’attacher a toi plus que je ne le suis déjà et de te voir un jour m’abandonner. Je ne le supporterai pas. Je ne le pourrai pas. C’est impossible. Depuis notre rencontrer, je ne pense qu’a toi, a tes yeux, ton sourire si chaleureux, a ta peau, tes lèvres. Je les veux rien qu’a moi. Je te veux toi. J’ai toujours redouter l’amour, pourquoi es tu venu a moi. Avant toi j’avais l’illusion que l’amour ne m’atteindrait jamais et je le vivais bien, je m’y étais résigné. Et maintenant je sui perdu. Mon monde s’effondre et je me sens nue. Sans défense. Elle s’interrompit perdu dans ses sanglots. Hadès la pris alors tendrement dans ses bras et lui caressa les cheveux se qui l’apaisa.
- ne m’abandonne pas, je crois que je t’aime, ne m’abandonne pas chuchota-elle enfin

Il faisait jour depuis longtemps derrière les lourds rideaux de velours. Mania s’éveilla dans les bras d’Hadès qui la regardai tendrement.
- bonjours, belle endormie ! Lui susurra-t-il à l’oreille en resserant l'etreint autour de sa taille.
Mania se contenta de lui répondre par un sourire et enfouit sa tête au creux de l’épaule de son amant. Elle aurait pu rester la éternellement, elle se sentait bien. Le corps incandescent d’Hadès contrastai avec la froideur de celui de Mania mais cela ne semblai pas les perturbé. Ils était des vampires après tous et leur essence supérieur ne s’arrêtai pas a se genre de chose. Hadès attira Mania contre son tors puissant et l’embrassa de nouveau. Leur lèvre fusionna et ils sentirent leurs passions grandir. Mania frissonna, elle ne savais que trop bien se qui allais suivre et s’apprêtait a le recevoir avec délice. Attendant le moment divin ou il la ferait sienne, elle lui tendit ces lèvre et s’abandonna. Ils n’était qu’un.

Hadou ! hadou ! Aide moi ! Ces mots résonnèrent dans la tête d’Hadès. Ironik était quelque part, elle était seule et elle avait peur. Sa voix, se faisait tremblant et semblai faiblir. Le sang d’Hadès ne fit qu’un tour. Comment avait il pu la négliger a se point. Cela ne lui ressemblai pas. Si il venait à arriver malheur à sa fille bien aimée, il ne se le pardonnerait pas. Il fallait se hâter, la voix d’ironik était presque inaudible. Franchissant la lourde porte de chêne, il sorti affronter l’astre premier, cette boule informe et compact que l’on appel soleil. Ces rayons meurtriers s’élancèrent sur sa peau qui sous cet impact semblait scintiller. Nul puissance en se monde n’aurai pu venir a bout du roi des mort et le soleil ne fesai pas exception, après tous, n’était il pas d’essence divine. Le soleil vaincu mourut sous un épais nuage. Cette vision calma immédiatement Hadès. bien qu’immuniser contre le soleil, sa présence sournoise dans le ciel l’affolait, son instinct de vampire lui disait de se méfier, cela était encrer en lui. Puis la pénombre naissance l’aiderait à ramener Ironik en sa demeure sans encombre. Hadès se dirigea vers l’épais foret qui tapissait son royaume, aucune trace de vie ne subsistait, elle était morte. Le seule espoir d’Hadès était qu’Ironik ai trouver un abri sur en ces lieu. Machinalement il se dirigea vers l’est comme si des forces qui le dépassaient l’y guidait. Quand enfin il interrompit sa course, il se trouvait devant une petite grotte peu profonde ! Il la reconnu immédiatement. C’est ici qu’il avait rencontré pour la première fois Ironik. Le mimétisme de la scène qui se jouait devant lui le déconcerta ! Ironik était la, dans la grotte, pelotonner dans la même position que jadis, cependant ce n’es pas par le froid que son corps était transi mais par la douleur. Son corps était couvert de brûlure, pourtant tous n’étaient pas perdus et la vie n’avait pas encore déserté son corps. Elle était sauve et Hadès s’avais quoi faire. Il sagenoua auprès de son trésor et s’entailla le bras, rependant son sang sur les meurtrissure qui consumai Ironik. Le corps de cette dernière se régénéra sur le champ, mais l’épreuve qu’elle venait d’affronter l’avait épuisé, elle était inconsciente. Hadès l’enveloppa dans la cape qui avait apporté avec lui et reparti en direction de son château, bientôt il serait chez lui, elle serait alors hors de danger.

Hadès sorti de la chambre laissant Mania et Ironik seule. Toute deux se dévisagèrent et un profond malaise s’instaura.
-Mon père ta sauver ? étrange tu es pourtant connu pour ta force. Lança Ironik.
-Oui j’étais perdu dans mes penser quand l’attaque a commencé puis je n’avais ni mes armes ni mon armure, ma longue robe était un handicap. Lui répondit Mania.
-Ha ! si tu le dis, je suis fatiguer, enchaîna Ironik. Je vais dormir un peu si tu le permets. On parlera plus tard, après tous si mon père t’a autoriser à rester aujourd’hui dans son château c’est qu’il doit y avoir une raison.
-Sûrement ! je l’ignore ! dit Mania songeuse.
Une foule d’événement c’était bousculé dans sa vie triste et calme et cela la perturbait. Elle n’avait pas l’habitude de tant d’actions. Dans son royaume de glaces, les jours se succédai et se ressemblai. Prenant congé d’Ironik qui s’endormissait a vu d’œil, Mania pénétra dans le couloir. Elle voulu rejoindre Hades mais se ravisa, l’expression qu’il avait afficher dans la chambre d’Ironik montrai bien qu’il avait besoin d’être seul. Peu un porte se dit elle, Il m’en parlera peu être se soir.